25 et 26.9.18 Tso Moriri
25 septembre 2018, Leh - Tso Moriri
Après toute la journée de hier passée en voiture, la poignée des gaz nous démange. Après avoir épuré nos bagages pour ne prendre que le minium, afin d'être plus léger sur les mauvaises routes, nous voilà partis vers 10h30 pour le lac Tso Moriri.
Nous reprenons la route du sud en direction de Manali jusqu'au check-point de Upshi. Juste avant, à Kardu, nous faisons le plein et remplissons un sac de réserve supplémentaire car il n'y a plus de station-service par la suite.
Les trente premiers kilomètres sont bien asphaltés et les paysages commencent à devenir très impressionnants. La route s'enfonce dans une vallée montagneuse et prend des allures majestueuses. La roche par ici semble très friables. Les éboulements sont légions et il est toujours aussi impressionnant de voir la taille des rochers qui se détachent des parois rocheuses.
Puis il y a une portion de route complètement défoncée que nous avalons en restant debout sur les bécanes pour amortir les aspérités du terrain. Par la suite, la route s'améliore jusqu'au dernier check-point avant Tso Moriri. Nous profitons de demander s'il est possible d'emprunter la route pour aller jusqu'au lac de Pangong Tso, normalement réservée aux militaires. Le policier nous dit que c'est possible, mais il y a 140 km pour y parvenir et notre réserve d'essence est insuffisante.
Nous bifurquons donc à droite en direction de Tso Moriri. Le décor est somptueux et c'est un véritable plaisir de rouler dans ce Disneyland de Mère Nature.
Nous arrivons au premier petit lac et ses maigres pâturages où paissent des chevaux. Nous en profitons pour faire une petite séance photo avant de parcourir les derniers kilomètres sur un chemin en gravier où je m'éclate, malgré la suspension arrière qui donne de sérieux signes de fatigue.
Nous arrivons au village de Tso Moriri et prenons une chambre chez l'habitant. Elle est jolie avec des tapis par terre et des tentures au plafond, mais il y fait extrêmement froid.
Je suis crevé et je commence à sentir à nouveau les effets de l'altitude. Le lac est à environ à 4500 m.
Nous prenons le repas du soir en compagnie de nos hôtes, dans la cuisine bien chauffée que nous avons du mal de quitter.
Après ce repas copieux, nous allons un peu marcher au clair de lune et discutons avec des chauffeurs de taxis collectifs un moment avant de nous engouffrer sous les couettes à peine suffisantes pour passer une bonne nuit.
26 septembre 2018, Tso Moriri - Leh
Nous nous levons avec le lever de soleil sur le lac, un spectacle grandiose. Après le déjeuner avec nos hôtes, nous discutons avec un groupe de quatre motards indiens qui crèchent dans la chambre voisine. Debu, un des motards, nous explique un peu le système des castes en Inde et d'autres aspects de la vie quotidienne.
Avant de quitter le village, nous nous rendons à un point de vue qui surplombe le lac et nous redescendons en direction de Leh.
Ma suspension est morte, cette fois, et la conduite est pénible. Je dois rester debout tout le temps et cela me fatigue.
Vu que Giuseppe fait quelques dizaines de kilos de moins que moi, il me propose après une trentaine de kilomètres d'échanger nos montures, et j'accepte.
La conduite est bien plus agréable avec sa moto.
En chemin, nous nous arrêtons dans un village pour diner. Mais l'exécrable cuisson du poulet et l'odeur de kérosène des chapatis, ces sortes de galettes indiennes, me coupent complètement l'appétit.
Nous arrivons à Leh vers 16 h et prenons contact avec Paul.
Nous restituons les motos chez lui car il est interdit d'aller dans la vallée de la Nubra avec des motos de location qui ne sont pas immatriculées au Ladakh. Nous trouvons deux motos pour la journée de demain, des Royal Enfiel Himalaya aussi mais toutes neuves, avec l'injection directe. Par contre, l'une d'entre elle a le pneu arrière bien usé et on ne sait pas comment cela va se passer demain dans la neige.
En effet, nous partons à l'ascension du Kardung La, le col réputé le plus haut du monde, avec l'espoir de le traverser pour visiter la vallée de la Nubra. Si l'expédition s'avère trop risquée, nous rebrousserons chemin et nous y rendrons en taxi vendredi.
Après toute la journée de hier passée en voiture, la poignée des gaz nous démange. Après avoir épuré nos bagages pour ne prendre que le minium, afin d'être plus léger sur les mauvaises routes, nous voilà partis vers 10h30 pour le lac Tso Moriri.
Nous reprenons la route du sud en direction de Manali jusqu'au check-point de Upshi. Juste avant, à Kardu, nous faisons le plein et remplissons un sac de réserve supplémentaire car il n'y a plus de station-service par la suite.
Les trente premiers kilomètres sont bien asphaltés et les paysages commencent à devenir très impressionnants. La route s'enfonce dans une vallée montagneuse et prend des allures majestueuses. La roche par ici semble très friables. Les éboulements sont légions et il est toujours aussi impressionnant de voir la taille des rochers qui se détachent des parois rocheuses.
Puis il y a une portion de route complètement défoncée que nous avalons en restant debout sur les bécanes pour amortir les aspérités du terrain. Par la suite, la route s'améliore jusqu'au dernier check-point avant Tso Moriri. Nous profitons de demander s'il est possible d'emprunter la route pour aller jusqu'au lac de Pangong Tso, normalement réservée aux militaires. Le policier nous dit que c'est possible, mais il y a 140 km pour y parvenir et notre réserve d'essence est insuffisante.
Nous bifurquons donc à droite en direction de Tso Moriri. Le décor est somptueux et c'est un véritable plaisir de rouler dans ce Disneyland de Mère Nature.
Nous arrivons au premier petit lac et ses maigres pâturages où paissent des chevaux. Nous en profitons pour faire une petite séance photo avant de parcourir les derniers kilomètres sur un chemin en gravier où je m'éclate, malgré la suspension arrière qui donne de sérieux signes de fatigue.
Nous arrivons au village de Tso Moriri et prenons une chambre chez l'habitant. Elle est jolie avec des tapis par terre et des tentures au plafond, mais il y fait extrêmement froid.
Je suis crevé et je commence à sentir à nouveau les effets de l'altitude. Le lac est à environ à 4500 m.
Nous prenons le repas du soir en compagnie de nos hôtes, dans la cuisine bien chauffée que nous avons du mal de quitter.
Après ce repas copieux, nous allons un peu marcher au clair de lune et discutons avec des chauffeurs de taxis collectifs un moment avant de nous engouffrer sous les couettes à peine suffisantes pour passer une bonne nuit.
26 septembre 2018, Tso Moriri - Leh
Nous nous levons avec le lever de soleil sur le lac, un spectacle grandiose. Après le déjeuner avec nos hôtes, nous discutons avec un groupe de quatre motards indiens qui crèchent dans la chambre voisine. Debu, un des motards, nous explique un peu le système des castes en Inde et d'autres aspects de la vie quotidienne.
Avant de quitter le village, nous nous rendons à un point de vue qui surplombe le lac et nous redescendons en direction de Leh.
Ma suspension est morte, cette fois, et la conduite est pénible. Je dois rester debout tout le temps et cela me fatigue.
Vu que Giuseppe fait quelques dizaines de kilos de moins que moi, il me propose après une trentaine de kilomètres d'échanger nos montures, et j'accepte.
La conduite est bien plus agréable avec sa moto.
En chemin, nous nous arrêtons dans un village pour diner. Mais l'exécrable cuisson du poulet et l'odeur de kérosène des chapatis, ces sortes de galettes indiennes, me coupent complètement l'appétit.
Nous arrivons à Leh vers 16 h et prenons contact avec Paul.
Nous restituons les motos chez lui car il est interdit d'aller dans la vallée de la Nubra avec des motos de location qui ne sont pas immatriculées au Ladakh. Nous trouvons deux motos pour la journée de demain, des Royal Enfiel Himalaya aussi mais toutes neuves, avec l'injection directe. Par contre, l'une d'entre elle a le pneu arrière bien usé et on ne sait pas comment cela va se passer demain dans la neige.
En effet, nous partons à l'ascension du Kardung La, le col réputé le plus haut du monde, avec l'espoir de le traverser pour visiter la vallée de la Nubra. Si l'expédition s'avère trop risquée, nous rebrousserons chemin et nous y rendrons en taxi vendredi.
Un troupeau de yacks en route. |
Un décor majestueux. |
La route vers les hauteurs. |
We love off road. |
Le parking devant la maison de nos hôtes. |
Le lac Tso Moriri au petit matin. |
Il a gelé cette nuit mais Giuseppe contemple le spectacle en tongs. |
Hello les compères
RépondreSupprimerJe te lis à l instant et ma foi je dois reconnaître que je suis un peu jaloux devant la beauté de ce que vous vous êtes en train de vivre😉vous avez mille fois raison de vous autoriser ça ! !!
Continuez bien j attends la suite avec impatience
Cordialement
Fred
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RépondreSupprimerFind great deals at Casino, Resort and Lodging in Temecula starting at $99. Save up to 60% 남원 출장마사지 off with our Hot Rate deals when booking a 충주 출장안마 last 강원도 출장안마 minute 문경 출장샵 hotel 아산 출장샵 room.