23.9.18 Journée de larve
Dimanche 23 septembre, Leh
Après tout, c'est dimanche. La journée de hier nous a tellement épuisés et le temps est tellement pourri que nous passons toute la journée à l'hôtel, dans une chambre digne d'un abattoir. Nous n'avons pas de thermomètre, mais il ne doit pas faire plus de dix degrés à l'intérieur, et moins de 4 à l'extérieur.
Au niveau des surprises quotidiennes, nous apprenons par un contact du fournisseur des motos, Paul, un jeune homme sympathique, que nous ne pouvons pas aller avec nos motos à Pangong Tso ni au col de Kardong avec des motos de location qui ne proviennent pas du Ladakh.
Nous avons du mal de croire à cette information et Giuseppe s'assure de la véracité de cette règle absurde - une de plus - auprès d'Ishaan.
L'information est confirmée et Paul ne s'est pas payé notre tête.
Par ailleurs, il faut des autorisations pour se rendre dans la plupart des vallées de cette région, sensible d'un point de vue militaire et officiellement, ces entraves sont censées limiter le nombre de touristes.
Paul fait des photos de nos passeports et de nos visas et il va s'occuper de demander les autorisations.
Nous décidons aussi de restituer les motos à Leh car nous n'avons de toute façon pas le choix. Tous les cols de liaison avec la vallée de Leh sont fermés à cause de la neige et nous ne savons pas si nous pourrons utiliser les motos avant mardi, le jour qui marque la fin des précipitations selon les prévisions météo
Beaucoup d'incertitudes donc quant à la suite de notre voyage car la neige complique tout. Et ce temps pluvieux nous glace les os. Nous n'avons résolument pas envie de mettre le nez dehors.
J'ai ainsi du temps à disposition pour écrire mon blog, mais ce n'est pas chose aisée.
Il y a des coupures de courant à tout bout de champ et le wifi est plus qu'aléatoire.
Journée tranquille, digne des vieux schnocks cinquantenaires que nous sommes et le soir, les discussions sont vives quant à la suite du voyage. Mais à chaque jour suffit sa peine.
Après tout, c'est dimanche. La journée de hier nous a tellement épuisés et le temps est tellement pourri que nous passons toute la journée à l'hôtel, dans une chambre digne d'un abattoir. Nous n'avons pas de thermomètre, mais il ne doit pas faire plus de dix degrés à l'intérieur, et moins de 4 à l'extérieur.
Au niveau des surprises quotidiennes, nous apprenons par un contact du fournisseur des motos, Paul, un jeune homme sympathique, que nous ne pouvons pas aller avec nos motos à Pangong Tso ni au col de Kardong avec des motos de location qui ne proviennent pas du Ladakh.
Nous avons du mal de croire à cette information et Giuseppe s'assure de la véracité de cette règle absurde - une de plus - auprès d'Ishaan.
L'information est confirmée et Paul ne s'est pas payé notre tête.
Par ailleurs, il faut des autorisations pour se rendre dans la plupart des vallées de cette région, sensible d'un point de vue militaire et officiellement, ces entraves sont censées limiter le nombre de touristes.
Paul fait des photos de nos passeports et de nos visas et il va s'occuper de demander les autorisations.
Nous décidons aussi de restituer les motos à Leh car nous n'avons de toute façon pas le choix. Tous les cols de liaison avec la vallée de Leh sont fermés à cause de la neige et nous ne savons pas si nous pourrons utiliser les motos avant mardi, le jour qui marque la fin des précipitations selon les prévisions météo
Beaucoup d'incertitudes donc quant à la suite de notre voyage car la neige complique tout. Et ce temps pluvieux nous glace les os. Nous n'avons résolument pas envie de mettre le nez dehors.
J'ai ainsi du temps à disposition pour écrire mon blog, mais ce n'est pas chose aisée.
Il y a des coupures de courant à tout bout de champ et le wifi est plus qu'aléatoire.
Journée tranquille, digne des vieux schnocks cinquantenaires que nous sommes et le soir, les discussions sont vives quant à la suite du voyage. Mais à chaque jour suffit sa peine.
Kailash Guest house", petite maison au milieu de la verdure à quelques minutes du centre de Leh, tenue par Sophie et Tsewang. Sophie, originaire de Chichiliane près de Grenoble a épousé Tsewang, un beau Ladakhpa. adresse très cool est paisible à leh si jamais ça se prolonge
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